Laurence Labadie, dit Laurence

Au tour de Laurence de se présenter

Ton travail chez HP/ Qui es-tu?
"Je suis Global Account Manager (GAM) chez HP – division computing, en charge de clients comme BNPP, L’Oreal et PSA.

Il y a 10 ans, j’ai commencé à courir…c’est devenu « mon truc ».

Je ne suis pas très rapide, mais endurante et régulière.

Et sinon, cela n’a rien à voir, mais j’adore les éoliennes…elles me fascinent."


A quelle(s) éditions de la CdC as-tu participé ?
C’est une première pour moi.

Qu’est-ce qui t’a amené à vouloir participer / recommencer?
Je côtoie depuis longtemps des amis runners chez HP qui ont participé à cette aventure. Je les ai bien souvent enviés… à leur départ, à leur retour.

Qu’est-ce que ça représente pour toi ?
"C’est un beau challenge sportif, un bon défi personnel.

Je me sens très fière de représenter HP pour soutenir cette cause."


Qu’est-ce qui te fait peur, qu’est-ce que tu as hâte de voir/faire dans la course?
"J’ai hâte d’y être et de partager des moments de running avec tous. De vivre cette ambiance particulière, de traverser ces villages ou les enfants nous attendent.

J’appréhende la gestion la fatigue physique et  les émotions."


Ton rôle dans l’équipe ?
Pour le moment, j’essaye d’aider à la préparation … un peu. Pendant la course, je vais courir, le mieux possible.

La suite de l’entretien après la video…

Le don d’organe, c’est quoi pour toi ?

"C’est offrir une vie. C’est une évidence, mais c’est facile à dire, le sujet reste compliqué lorsqu’ on s’y retrouve réellement confronté.

Cette course est une belle occasion d’en parler autour de soi, entre amis, collègues, en famille."

Que feras tu après cette course particulière et forte émotionnellement ?

"Il parait que c’est difficile de reprendre une vie normale juste après.

Je vais continuer à promouvoir la cause dans mon quotidien, autant que possible et certainement je penserai déjà à l’année suivante. "

Quel est ton slogan dans la vie ?

J’aime cette phrase de l’écrivain/marathonien japonais Haruki Murakami : « Pain is inevitable, suffering is optional »